3 choses que vous ne saviez pas sur la zone sous oculaire
Dans les interactions sociales, les yeux sont les premiers éléments que l'on remarque chez quelqu'un. Considérés comme un miroir de nous-mêmes, ils sont une pure projection de notre état psychologique et physique. L'observation des yeux peut suffire le plus souvent à comprendre des émotions même complexes et à évaluer l'âge ou le niveau de fatigue d'une personne.
En raison de sa structure anatomique particulière et de son emplacement, la peau sous les yeux est particulièrement fragile et sujette à des symptômes indésirables.
Trois paramètres expliquent cette spécificité
1. La zone la plus fine du visage
La finesse de la peau en dessous de l'œil est unique par rapport aux autres zones du visage : de 0,5 mm à 0,8 mm selon la zone mesurée. Cela confère à cette région une relative transparence, rendant les troubles sous-jacents facilement visibles.
2. Peau sensible au stress
L'exposition constante de la peau du dessous des yeux à l'environnement extérieur est à l'origine d'une réactivité exacerbée. Plus qu'ailleurs, les UV, la fatigue, la pollution et le stress déclenchent inflammation et sensibilité.
3. Zone richement vascularisée
Un réseau dense de capillaires sanguins irrigue la zone. Avec plus de 3000 capillaires par cm2 de peau, situés très près de la surface de la peau, les troubles de la circulation sanguine et lymphatique sont rapidement visibles.
En raison de ces caractéristiques, la zone en dessous des yeux reflète facilement les troubles de la microcirculation. En particulier, les cernes et les poches sont le résultat d'une inflammation qui entraîne une perturbation de la microcirculation et une fuite des fluides depuis les capillaires vers la région sous-oculaire.
Eyeglorius™, l'actif liposoluble qui lutte contre les signes de fatigue.
Les équipes de recherche de Gattefossé ont identifié des molécules issues du règne végétal pour répondre à ces symptômes.
Les acides triterpéniques (principalement les acides ursolique, maslinique et oléanolique) ont des effets directs sur la microcirculation cutanée en réduisant la perméabilité vasculaire induite par l'inflammation et en renforçant la fonction de barrière endothéliale. Ils présentent également un potentiel dans la dégradation du pigment rouge des cernes.
Gattefossé s'est intéressé aux feuilles de l'argousier, réputées pour leur remarquable richesse phytochimique, notamment en composés triterpéniques. Dans les laboratoires de chimie du végétal de l'entreprise, celles-ci sont transformées en un bioactif huileux et résistant à la chaleur.